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⌟ Achat d'art

De tout temps, l’art est considéré comme une valeur refuge. En réalité bien plus que cela, les « objets de convoitise » peuvent voir leur prix considérablement augmenter dans le temps et sont autant de manifestation du génie de l’homme pouvant donner lieu à de véritables opportunités financières (Tableaux, sculptures, poteries, tapisseries…).

Crédit investissement a noué de véritables relations de confiance avec les meilleurs antiquaires de la Place de Paris pour vous aider à profiter du marché de l’incroyable marché de l’œuvre d’art.

ART

Questions Pratiques

Cas 1 : Quels sont les avantages fiscaux liés aux œuvres d’art ?

Réponse: Pour les particuliers l’avantage le plus connu réside dans le fait que les œuvres d’art ne sont pas assujetties à l’ISF : les montants consacrés à leur acquisition ne sont pas imposables. C’est déjà un avantage conséquent pour les gros patrimoines. Ensuite, les objets d’art et de collection vendus pour un montant inférieur à 5 000 euros ne sont pas taxés. Au-dessus de ce montant, le vendeur peut choisir une taxation forfaitaire ou opter pour le régime de droit commun selon deux possibilités :
Si le vendeur dispose d’une facture, il peut opter :
• soit pour la taxation forfaitaire de 6,5 %,
• soit pour l’application du régime de droit commun de taxation des plus-values des œuvres d’art. Pour rappel, la plus-value est calculée sur la base de la différence entre le prix d’achat (auquel on rajoute les frais d’achat et de restauration éventuelle) et le prix de revente.
Cette plus-value fait ensuite l’objet d’un abattement de 10 % par année de possession au-delà de la deuxième année. Opter pour ce régime sera donc plus intéressant si l’objet d’art est détenu depuis plus de 12 ans. De même, si l’objet d’art est issu d’une succession de moins de 2 ans et fait l’objet d’une vente aux enchères, l’exonération sera totale également. Enfin, la loi permet aussi aux propriétaires d’œuvres d’art de régler certains impôts en proposant une œuvre à l’Etat en contrepartie des droits qui sont dus : c’est la dation en paiement.

 

Cas 2 : J’ai vu sur un site d’annonces en ligne un objet d’art qui me semble authentique en plus d’être en dessous du prix du marché.
Dois-je l’acquérir ?

Réponse: Pour investir, la plus risquée des méthodes est encore de se jeter sur une œuvre qui vous parait fixée à un prix dérisoire. Ne faites confiance à aucun vendeur particulier. Il est plus sage de recourir à des professionnels, (antiquaires, galeristes…) c’est bien plus prudent.
D’abord parce que le code de la consommation vous protège, ensuite parce qu’ils sont obligés de consigner sur registre la nature de l’objet et l’identité du vendeur.
Autre possibilité : les salles d’enchères publiques. Les objets, qui doivent être catalogués et visibles lors de la vente, sont adjugés au meilleur enchérisseur, sauf si le prix de réserve (plancher fixé par le vendeur) n’est pas atteint. Il faudra toutefois additionner 15% de frais en plus.

Cas 3 : Quelle est la durée de détention avant revente à envisager pour mon œuvre ?

Réponse: Ce type de placement est à considérer sur la durée. En conservant votre bien entre huit et douze ans, vous pouvez obtenir une plus-value de 7% l’an pour un achat en direct. Mais de tels niveaux de rendement ne sont envisageables qu’en misant au moins 20.000 euros.
C’est à partir de ce montant qu’on accède au marché international où opèrent les grands marchands d’art, comme Sotheby’s ou Christie’s. Par contre, sauf miracle, la toile d’un inconnu achetée 1.000 euros ne vous rapportera jamais rien.

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